NOUS AVONS BESOIN DE VOUS !

Seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin

icône décorative en forme de coeur

A ce jour, les maisons sont financés grâce aux soutiens d’OPH31, de la Banque des Territoires, de la Caisse Nationale de Solidarité, du Conseil Départemental de la Haute-Garonne. L’ouverture est prévue pour 2026. Cependant nous recherchons des fonds pour optimiser la construction sur un plan écologique.

Nous souhaitons limiter l’impact négatif sur l’environnement et sur la santé de celles et ceux qui occuperont les lieux (ex : mur intérieur en enduit terre).

Nous aimerions créer des jardins thérapeutiques afin que les personnes puissent facilement retrouver leur chemin.

Nous voulons adapter un tiers lieu doté d’un café-restaurant, à la personne qui souffre de perte de mémoire, de repérage dans l’espace et dans le temps, de difficultés motrices.

Il s’agit de redonner à la personne un sentiment de « normalité », de pouvoir vivre des moments en oubliant la maladie.

« J’ai le souvenir au Québec de cette personne, âgée seulement de 55 ans et qui souffrait d’une maladie d’Alzheimer, avec qui je me suis promenée. Nous avons marché 2 heures dans les environs de Trois-Rivières. Je la suivais car je ne connaissais pas le coin. Je n’ai pas pensé un seul instant qu’elle ne puisse pas retrouver son chemin. Elle était plus orientée que moi. Mes chaussures étaient neuves et j’ai eu d’énormes ampoules aux pieds. Je les lui ai montrées et elle a ri à n’en plus finir.« 

Elle riait simplement comme « avant ».

Une histoire de don

icone décorative de donation

C’est l’histoire d’une famille qui vient de perdre un proche d’une maladie d’Alzheimer et qui souhaite soutenir le projet porté par notre association. Ils ont ouvert une cagnotte (lien en bas de page). En tant que présidente, je les remercie de tout mon coeur pour cette action tant généreuse qu’inattendue. 

Les maisons partagées de l’association I’Itô ne sont pas des établissements dédiés aux malades d’Alzheimer. Ce sont des logements « ordinaires » non médicalisés mais qui ont été pensés dès l’origine en tenant compte des symptômes liés à cette pathologie.

Pourquoi ? parce que les angoisses, les problèmes d’attention, de concentration, de désorientation dans l’espace et dans le temps, les pertes de mémoire ne sont pas réservés exclusivement à cette pathologie. Alors, dans ces conditions, la maladie est moins un problème.

Nous souhaitons créer les conditions de vie les plus harmonieuses pour contenir l’évolution d’une difficulté ou d’une maladie qui s’appuieront sur 4 axes : une alimentation saine, de la stimulation cognitive (ex : bricolage, cuisine, sorties, implication dans la vie locale…) et physique (ex : sport adapté), de la gestion du stress (ex : temps individuel pour parler, accompagnement à l’endormissement), une place au sein d’un groupe (ex : attribution de responsabilités) . Nous souhaitons créer des passerelles entre le professionnel et l’habitant tout simplement en créant des projets qui ont du sens pour tous mais aussi en partageant des moments conviviaux où le plaisir est un maître mot.

Le pari est de réussir à concilier le libre choix et le « vivre ensemble » où l’humain passe avant l’âge ou la maladie.

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